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Hitler écrit d’ailleurs, à propos du lectorat des médias et des journaux – ces derniers ayant selon lui justement la charge de « l’éducation des adultes » – ces remarques suivantes : « Il est possible à cet égard de diviser, en gros, ses lecteurs en trois tranches :  Ceux qui croient tout ce qu’ils lisent.  Ceux qui ne croient plus rien du tout.  Les cerveaux qui examinent avec un sens critique ce qu’ils ont lu et qui jugent ensuite. Le premier groupe est numériquement de beaucoup le plus grand. Il comprend la grande masse du peuple et représente, par la suite, la partie intellectuellement la plus simple de la nation. (...) Ceci peut constituer un avantage quand ils sont éclairés par des auteurs sérieux et épris de vérité ; mais c’est un désavantage, si ce sont des canailles ou des menteurs qui prennent soin de les renseigner. [1] »

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