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François Miville il y a 3 semaines

Exactement : premièrement seule une petite minorité de juifs rend un culte à Moloch, et contrairement à la légende qu'on fait courir à peu près n'importe qui peut devenir au bout d'une bien courte initiation juif sectateur du culte de Moloch, pourvu d'aimer la sorcellerie et de ne pas avoir peur du sacrifice d'enfants.

En effet, est juif quiconque a eu pour mère ou mieux encore pour maîtresse régulière (un an) une juive ou mieux encore idéalement une sorcière : une sorcière une fois douée de son pouvoir de fascination, d'envoûtement et de jet de mauvais sort ne peut engendrer que des juifs, fût-elle noire comme l'ébène ou jaune comme le beurre et ne connût-elle de religion que le vaudou ou le taoïsme chinois.

La plupart des juifs les plus actifs le sont donc devenus par vocation assez récente, le seul snobisme racial est celui qui est attenant à certaines grandes familles dynastiques et non pas à l'ensemble du monde juif qui est par définition une entité diffuse, hybride, métissée, sans qualité raciale précise. Même la langue hébraïque classique fait penser à un dialecte très abâtardi de l'arabe classique. Le seul moyen de la mise en esclavage des non-juifs par les juifs est en définitive la sorcellerie peut importe qui pratique cette sorcellerie, car entre autres sans sorcellerie, sans l'art de magnétiser à l'insu des créanciers les prêts qu'on lui fait pour induire en lui des comportements auto-destructeurs, il est impossible d'être un bon usurier. Sans sorcellerie pas de pouvoir juif, pourtant la masse des juifs plus horreur des sciences occultes, fussent-elles kabbalistiques, que l'ensemble de la population.

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