La Russie, qui a sauvé la Syrie des mercenaires jihadistes de l’Otan, ne s’est jamais engagée à aller plus loin. Elle assiste sans réagir au lent effondrement de ce pays, jadis prospère. La situation n’en est pas déjà à la famine, comme au Yémen, mais s’y dirige inexorablement.