Les postes de télévision cathodique affichent des images en 625 lignes. Il suffit que l’une d’entre elles soit brouillée pour que nous ne percevions qu’elle dans l’image. Sur le même principe, il suffit d’entendre un seul point de vue différent pour que les mensonges d’une propagande omniprésente crèvent les yeux. C’est pourquoi la propagande, lorsqu’elle ment, exige une censure implacable